Le tribunal a tenté, jeudi, de faire la lumière sur le soupçon tenace qui plane sur ce dossier, celui d’une complicité tacite de l’Etat. Mais entre le mensonge avéré d’un cadre du cimentier à un diplomate et l’oubli opportun d’un ambassadeur, le brouillard n’a cessé de s’épaissir.L’ancien directeur général adjoint de Lafarge, Christian Herrault, et son avocate, Solange Doumic, au palais de justice, à Paris, le 4 novembre 2025.
Procès de Lafarge : les autorités françaises savaient-elles que le cimentier finançait des groupes terroristes ?
Scritto il 05/12/2025