L’avocat général de la Cour de cassation recommande de désavouer la Cour d’appel qui avait considéré, en avril, que le groupe breton exerçait un « contrôle de fait » sur Vivendi. Une cassation sans renvoi est envisagée pour clore ce dossier brûlant.Vincent Bolloré (à droite), président du conseil de surveillance de Vivendi, avant une audition devant la commission d’enquête parlementaire à l’Assemblée nationale, à Paris, le 13 mars 2024.
Le groupe Bolloré, premier actionnaire de Vivendi, en passe d’échapper à une facture colossale
Scritto il 19/11/2025