Le calendrier de politique intérieure, plus que la relation avec Paris, a pesé dans l’exclusion de l’écrivain franco-algérien de la clémence collective décidée par le président Tebboune lors de la Fête de l’indépendance du 5 juillet.Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, lors d’un déplacement en Slovénie, le 13 mai 2025.
Alger en quête du moment favorable pour la grâce de Boualem Sansal
Scritto il 05/07/2025
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