Haïti compte 1,4 million de déplacés, victimes des bandes criminelles qui contrôlent une grande partie de l’agglomération de la capitale. Ces derniers mois, les forces de l’ordre et des milices d’autodéfense semblent néanmoins avoir réussi à endiguer leur avancée.Renée Guignard, 22 ans, amputée des deux pieds, est originaire de Solino. Elle a trouvé refuge au siège de l’Office de la protection du citoyen, transformé en camp pour déplacés, à Port-au-Prince, le 16 octobre 2025.
« Ma mère m’a portée sur son dos, sous les tirs des bandits » : à Haïti, les alentours de Port-au-Prince assaillis par les gangs
Scritto il 18/11/2025
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