« C’est un choix, un dilemme inhumain, que les acteurs humanitaires doivent faire et cela va complètement à l’encontre de nos valeurs », selon Handicap International, dont les équipes privilégient « les enfants, les femmes enceintes et les femmes allaitantes en espérant que les autres tiennent le coup ».En attendant de recevoir de l’aide, dans un camp de déplacés à Al-Dabba, au Soudan, le 15 novembre 2025.
Au Soudan, les humanitaires contraints de « choisir qui sauver » faute de moyens suffisants pour aider tous les civils pris au piège de la guerre
Scritto il 19/11/2025
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