La réforme constitutionnelle d’avril 2024, qui a permis à l’ex-président Faure Gnassingbé d’obtenir la présidence du conseil, sans limitation de mandat, avait provoqué une vague de contestation au printemps. Face à la dureté de la répression du gouvernement, les opposants ont cessé leur mobilisation.Le président du conseil togolais, Faure Gnassingbé, à l’Institut américain pour la paix de Washington, le 4 décembre 2025.
Au Togo, une répression silencieuse étouffe les voix dissidentes
Scritto il 10/12/2025
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