Alors que d’autres pays européens choisissent de politiser les survols suspects d’infrastructures stratégiques, la France reste prudente sur l’attribution de ces intrusions, toujours difficiles à prouver.Un sous-marin nucléaire, à la base navale de l’île Longue (Finistère), le 5 décembre 2016.
Drones au-dessus de la base navale de l’île Longue : les autorités françaises assument une nouvelle fois la discrétion
Scritto il 05/12/2025
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